Tout au long de sa décennie à la tête de l’Église catholique romaine, le pape François a permis des débats sur des sujets auparavant tabous et a amorcé des changements subtils vers la libéralisation qui ont mis en colère les conservateurs parce qu’ils allaient trop loin et frustré les progressistes parce qu’ils n’allaient pas assez loin.
Ce mois-ci, à partir de mercredi, le désir de François de voir l’Église discuter des préoccupations de ses fidèles, même des sujets les plus sensibles, culminera au Vatican lors d’une assemblée des évêques du monde entier qui permettra, pour la première fois, à des laïcs, y compris des femmes, d’y assister et de voter.
Les questions débattues porteront sur le célibat des prêtres, les prêtres mariés, la bénédiction des couples homosexuels, l’extension des sacrements aux personnes divorcées et l’ordination de femmes diacres.
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